Tous les articles par Lou DUBREUIL

Le racisme au travail de plus en plus désinhibé

Les agressions xénophobes physiques et verbales en entreprises, en hausse ces dernières années, se sont intensifiées depuis la dissolution de l’Assemblée nationale, légitimées par la montée du Rassemblement national.

Source: Le racisme au travail de plus en plus désinhibé

« Micro-agressions à répétition »

Les derniers chiffres disponibles sur le sujet attestent de cette montée de la violence xénophobe, avant même les élections. Le nombre de crimes et délits racistes enregistrés par les forces de sécurité a ainsi bondi de 32 % en un an en 2023, selon les statistiques du ministère de l’intérieur, reprises dans le rapport annuel de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH). Dans sa contribution au rapport, la Défenseure des droits précise que, cette année-là, près de la moitié des réclamations reçues pour des discriminations liées à l’origine se sont déroulées dans la sphère professionnelle : 23 % dans l’emploi privé et 19 % dans la fonction

Un Français sur quatre dit avoir été victime de propos ou comportement hostiles au travail

Ainsi, selon l’étude, 33 % des personnes perçues comme non blanches déclarent avoir subi des attitudes racistes, contre 6 % des personnes perçues comme blanches, toutes tranches d’âge confondues. Ces discriminations concernent avant tout les personnes perçues comme noires (38 % des victimes) et arabes (34 %), mais aussi celles perçues comme métisses (27 %) et asiatiques (26 %).

Ainsi, selon l’étude, 33 % des personnes perçues comme non blanches déclarent avoir subi des attitudes racistes, contre 6 % des personnes perçues comme blanches, toutes tranches d’âge confondues. Ces discriminations concernent avant tout les personnes perçues comme noires (38 % des victimes) et arabes (34 %), mais aussi celles perçues comme métisses (27 %) et asiatiques (26 %).

Source: Un Français sur quatre dit avoir été victime de propos ou comportement hostiles au travail

Les femmes, plus victimes de discrimination au travail que les hommes

Selon le 11e Baromètre de la perception des discriminations dans l’emploi en France, une personne sur quatre a déjà été confrontée à des propos ou comportements stigmatisants, notamment sexistes ou racistes, sur son lieu de travail. Les hommes jeunes homosexuels, perçus comme noirs ou arabes sont aussi particulièrement visés.

Source: Les femmes, plus victimes de discrimination au travail que les hommes

Projet Histoire – 2023 – lycée du Mené – Merdrignac

Dans cet article, je voudrais présenter un projet que j’ai pu réaliser au cours de l’année 2023, au lycée du Mené à Merdrignac. Pendant ma scolarité, en bac-pro-vente-en-produits-de-jardin

Dirigé et guidé avec l’aide d’une professeure, madame Leloup, j’ai eu la chance de partager mes écrits – de manière anonyme — aux élèves du lycée et ainsi obtenir des retours sur les textes distribués dans les couloirs lors des temps de pause, ou mis à disposition au CDI.

Toutefois, je vais expliquer la façon dont ce projet a vu le jour et des opportunités qui se sont offertes à moi pendant les semaines qui ont suivi.

Tout a commencé lorsque j’ai réagi à une story Instagram, où l’on pouvait apercevoir les BP 1 Fleuristes (2022-2024), qui autrement dit, était mon ancienne classe lors de mes études dans la filière « Fleuriste ». Étant nostalgique, j’ai liké la story et, sans me rendre compte, j’allais vivre l’une des expériences les plus importantes pour moi. Madame Leloup m’a envoyé un message dans les minutes qui ont précédé le like de la story et s’est montrée tout particulièrement curieuse au sujet de ma passion qui était l’écriture. Elle m’a quémandé ce que j’aimais écrire, le public concerné, et d’autres questions concernant ma passion.

Après quoi, elle m’a proposé de partager mes récits de manière anonyme aux élèves du lycée. Cependant, si nous voulions exécuter ce défi, il fallait que nous soyons discrets et garder ce projet secret.

Pendant le projet, lorsqu’elle était disponible et moi aussi, quand nous avions des temps libres, nous allions à la salle multimédia et créions la maquette finale qui allait être distribuée aux élèves !

En parallèle, nous avions réfléchi à la typologie du titre, quel visuel je voudrais apercevoir pour la couverture. Chez moi, j’avais réfléchi à des designs et je réalisais des croquis pour savoir si c’était esthétique, lisible et agréable pour la visibilité.

Une fois le projet terminé, madame Leloup a distribué les manuscrits aux élèves et j’ai pu recevoir des avis sur Instagram, car j’avais donné sur le manuscrit le nom de mon compte !

Cette expérience m’a permis de prendre confiance en moi, de plus, cela m’a ouvert des portes afin de contacter des maisons d’éditions. J’ai pu en discuter sur ce projet, leur donner un avant-goût avant l’envoi officiel du manuscrit corrigé. J’espère obtenir un envoi vers fin 2024, début 2025.